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Le musée


Bour gommenzer, guelques lieux bythiq... ââââââââââââttchoum !
Aaaah... pfff... snif... fait frisguet là-dessous.
Tiens, avant les lieux : la liste complète des 12.903 endroits où le Penish Band a joué : clic !
Oh, et puis, pendant qu'on y est, la liste des 121 morceaux joués sur scène, tiens : clac !

 
Lieu sacré entre tous ! En dehors bien sûr de la Peniserie (voir la page "Origine du groupe).

C'est grâce à son propriétaire des années 90, Jean-Paul, que le Penish Band est reparti en Tournée à Durée Indéterminée...

Il est devenu aujourd'hui un restaurant : cloc !



 

Hommage à Stefano, le patron du Garibaldi. Cet Italien albinos à moitié aveugle a offert des soirées d'anthologie au Penish Band dans son établissement. Un soir, le groupe y a été quasiment pris en otage par le public.

Puis Stefano a pris en gérance le bar du bateau Le France 1, transformé en Musée Maritime dans le port de La Rochelle, juste à côté à l'époque de la Calypso, le bateau explorateur du Commandant Cousteau. Le Penish Band y a aussi joué plusieurs fois, sur le pont, y tirant même un soir un feu d'artifice pendant son spectacle !

Site Internet du Musée Maritime : cluc !

 


 

Le Moulin de Fumailles, près de La Peyratte. Haut lieu de l'amitié, du Chinon 1976 et du fromage de chèvre le meilleur du monde : le Fumaillou.

C'est là que régulièrement le Penish Band est venu tester ses nouvelles chansons en "famille", pour clôturer ses universités d'étés.



 

A Pougne-Hérisson, il y a bien sûr le Nombril du Monde. Mais il y avait aussi, dans les années 2000, un couple qui ne faisait pas que se le regarder, le nombril. Véro et Alain avaient choisi d'y faire vivre un restau aux petits oignons, et d'y diffuser régulièrement des concerts.

A Pougne ?... Ouais, Môôsieur, à Pougne ! Comme quoi la gentillesse peut tout.



 

Pas très loin, dans la Vienne, à Béruges, un autre fou, Hervé, a investi il y a quelques années une ancienne briquetterie en ruine... et en a fait un gîte, avec chambres d'hôtes et restaurant !!

Une bouffe d'une autre galaxie, une cheminée de ma grand-mère, une ambiance de oufs. Quelles soirées !

Site Internet de la Briquetterie : clouc !




Archéologie : de l'origine à nos jours...


La première guitare du Penish Band, une Egmond, électrifiée dans "Lay Lady Lay ± Bob’s" à l'aide d'un micro glissé dans la caisse et branché directement sur un poste de radio !





"Fresque" réalisée par Didier pendant les cours au moment de la création du groupe




 
Un des carreaux originaux
(20 cm x 20 cm) réalisés par Néné pour reconstituer un poster d'environ 2,50 m de haut de Donovan. Ce poster a décoré un mur de la Peniserie jusqu'à la fermeture du site.
 




 
La première sono du groupe : une Bouyer.

Pas de détrompeurs sur l'ampli. Toutes les connections en simples prises deux broches ! C'est comme ça qu'un soir de boum Didier a branché un super micro chant Beyer directement sur le secteur... Crac ! Boum ! Hue !
Ah ! les amplis Bouyer, avec les haut-parleurs en forme de porte-voix ! "La quadlette Meunier de Lagh'on contre la quadlette Roy de Fénery sur le j'heu numélo 13, la quadl..." "Tonton Gaston est attendu à la buvette. J'he lépète : Tonton..." Aucun concours de boules en bois n'aurait pu s'en passer en Gâtine dans les années 60...






 
Une des rares photos où l'on aperçoit le premier ampli guitare du groupe. Un vieux truc à lampes, avec des entrées "jack français" ! Remis en état par un bricoleur genre Tryphon Tournesol retraité de l'armée à St-Maixent.





Un des premiers articles de presse consacré au Penish Band, vers 1975
 






 
La ferme de Rigal, sur la commune de Thénezay, haut lieu de répétition des années 80. On distingue à la fenêtre de droite un carreau non remplacé. C'est celui éclaté par les cambrioleurs qui ont, une nuit de février 1979, dérobé tout le matériel qui s'y trouvait : sono, ampli... et, enfer et damnation, une guitare Fender Stratocaster originale de 1971 ! Didier en pleure encore parfois...


 


 

Le fameux guide-chant-orgue-barbare à pompe, seul instrument habilité à accompagner "Oh, vilain petit zozio !" sur scène, en do majeur avec chorus en Grande Section bémol...





Manuscrits originaux
 
El Tango : le nom de la veuve de Carlos Gardel, les paroles originelles découvertes par Moumousse quelques minutes avant de les chanter et la grille d'accords avec l'empreinte du pied de l'auteur
 
Paroles d'Hawaii, "relevée phonétiquement" sur l'original





"La complainte du gars qu'avait pas d'chance" est illustrée par des tableaux vivants. C'est Moumousse et Titi, tirés au sort avant chaque spectacle, qui les mettent en scène.
Pour écouter les paroles : pouète !
Puis cliquez sur la première image pour suivre... comme au cinéma !




 
Ginette et Ginette, les deux poules mâles qui accompagnent fidèlement le Penish Band sur scène depuis les années 90
 
Les mêmes sous l'oeil de l'Ami Pierrot...



Série de dessins réalisés par Pierre,
très inspiré juste après un spectacle






 
La photo originale qui illustre le CD 2001 (voir la page "Disques") de Penish Band. Alice avait réussi là un vrai coup de maître. Chapeau pour le dressage...
 





 
"Objets inanimés avez-vous donc une âme ?" s'interrogeait ce brave Alphonse dans son poème "Milly ou la terre natale". Ah, s'il avait seulement rencontré le Penish Band...
Jamais il ne se serait alors posé la question en voyant cette housse de banjo, devenue une véritable oeuvre d'art en 2009, après quelques 30 années de bons et loyaux services. Et juste après l'avoir rendue, son âme.
 




Universités d'été

Eclaté géographiquement, le groupe se retrouve régulièrement depuis les années 90 en "université d'été". C'est l'occasion d'écrire collectivement les nouveaux morceaux... entre autres !



               
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